Après deux albums autoproduit, Haïku, produit par une grande maison de disque, est l'album qui fait connaïtre Dionysos au grand public. La presse et les radios rock nationales commencent à soutenir le groupe en diffusant le premier single de l'album, Coccinelle qui connu un succès important. Les Inrockuptibles titrait même en 1999 "Et si le meilleur groupe de l'année 99 était français?"...
Le groupe s'affirme, et nous offre ici un son plus travaillé que ce qu'il avait fait jusqu'à présent. Les 5 membres jonglent habilement entre des ballades folk (45 tours, Lune bulle, Pyjama, Only knees) et de l'énergie rock déjantée (Coccinelle, Poe-m) avec des beats quasi électroniques (La petite princesse aux seins écrasés, Nicholsong).
Quand à Mathias, il prend plus de risques en écrivant la moitié des chansons en Français et en s'aventurant dans quelques textes absurdes et autobiographiques.
Pour terminer l'album, le groupe nous gâte en nous offrant deux chansons folk (Ladybird et Mrs Squeeze) et un instrumental cachés après Poe-m, le seul titre à ce jour a avoir été intégralement chanté par Babet.
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